Bonnet en cachemire
A l’approche de l’hiver, d’autant plus dans les pays nordiques et méditerranéens, tout le monde cherche à être bien équipé pour affronter les baisses de températures.
Et afin d’éviter le cumule des couches de vêtements il faut trouver la pièce qui nous siéra et nous protégera le mieux !
Sans étonnement, le plus compliqué à trouver se trouve très souvent être les affaires pour couvrir nos extrémités.
En effet les « bouts » du corps humain sont particulièrement sensibles dans tous les termes du sens : aussi bien au changement de température, qu’aux différentes matières et produits.
C’est pourquoi le bonnet en cachemire reste chaque hiver le produit phare pour se couvrir la tête pour beaucoup de personnes.
La première chose à savoir, est que le cachemire provient de la chèvre.
C’est lorsque que la saison hivernale pointe le bout de son nez qu'apparaît un très doux duvet sur les petites chèvres du Tibet.
En effet, les chèvres produisant le meilleur et le plus de cachemire se trouvent dans les hauts plateaux de la région chinoise du Tibet et en Mongolie, principalement du fait du climat idéal à la fabrication naturelle de ce duvet.
Cependant, il faut attendre la fin de l’hiver pour le récolter car c’est seulement à cette période, avec la hausse des températures que les chèvres perdent naturellement leur pelage.
Si l’on regarde pour nos fameux bonnets en cachemire on peut voir une différence exubérante entre 2 bonnets qui, à priori, ont l’air tout à fait similaire.
En effet, le montant d’un bonnet en cachemire peut aller d’une vingtaine d’euros à plusieurs centaines d’euros. Mais qu’est ce qui justifie un tel écart ?
La principale explication vient du simple fait que la qualité d’une fibre se mesure à sa finesse mais surtout à sa longueur : plus la fibre est fine, plus elle sera agréable/douce et plus la fibre est longue, plus le filage sera solide.
Ainsi toutes les marques (souvent de grande distribution) affichant un « bonnet 100% en cachemire » à une vingtaine d’euros seulement ont très certainement eu recours à la technique dites du « open end » qui consiste à étendre une fibre plus courte et plus large.
Mais bien malheureusement cette pratique rend votre bonnet en cachemire beaucoup plus fragile qu’il ne l’est déjà.
Il aura alors tendance à boulocher très rapidement et à être moins doux.
Un autre facteur déterminant du prix de votre bonnet en cachemire est en lien avec la quantité de cachemire utilisée.
En toute logique, un bonnet en cachemire avec un pompon sera plus coûteux qu’un simple bonnet en cachemire.
De même un bonnet en cachemire pour homme sera plus coûteux qu’un bonnet en cachemire pour femme.
Pour finir, le lieu de production et la main d’œuvre auront aussi un rôle déterminant dans pour déterminer la valeur de votre bonnet.
Une sensibilisation globale à l’environnement s’est donc mise en place et beaucoup d’entre nous cherche désormais à adopter le mode de vie le plus respectueux possible pour notre maison mère.
Ainsi, chacun essaye de faire quelque chose à son échelle : en utilisant des transports moins polluants, en mangeant moins de viande, en achetant moins…
Et si vous perfectionnez vos efforts en achetant bien tout en vous faisant plaisir ? C’est possible et facile !
Revenons-en à notre bonnet, si je me souviens bien il fallait qu’il soit doux et chaud pour nous éviter d’attraper le bon gros rhume hivernale annuel et de rester clouer au lit toute la semaine.
Naturellement, beaucoup d’entre nous pensent que le cachemire est la matière IDÉALE pour combler tous ces besoins.
Mais en réalité, il existe d’autres laines tout aussi douces chaudes et qualitatives mais beaucoup moins polluantes.
Car acheter du cachemire n’est pas bon pour l’avenir !
Cela est dû à de nombreux facteurs mais la principale coupable est la chèvre.
En effet, cette dernière consomme une quantité d’eau potable affolante pour le peu de matière qu’elle rend.
Pour vous donner une idée, une chèvre peut boire jusqu’à 10 litres d’eau par jour et ne produit pourtant que 50 à 80 grammes de cachemire par an.
Ainsi il faudrait environ 5 chèvres pour faire 1 pull en cachemire.
La récolte du précieux et coûteux duvet qu’est le cachemire incite donc les éleveurs chinois et mongols à agrandir leurs élevages réduisant ainsi les espaces naturels et le bien-être d’autres espèces tel que le léopard des neiges.
À la pollution liée à l'agriculture s’ajoute celle de la production.
En effet, la laine de cachemire doit être traitée, blanchie (par l’utilisation d’eau de javel ) et teintée avant d’être vendue en magasin.
Or ces 3 étapes sont particulièrement nocives pour la planète car elles polluent les eaux puis l’ensemble de la chaîne alimentaire jusqu’à l’homme.
Cela s’explique par le fait que tous les produits utilisés : les pigments, les solvants, le chlore sont ingérés par les plantes et les animaux que nous mangeons.
En plus de la question écologique se pose la question du respect animal.
Car, si l'épilation au peigne est parfois pratiquée pour enlever le pelage des chèvres à la fin de l'hiver, ce n'est pas la technique utilisée la plus fréquente.
La majeure partie du temps les chèvres sont tendues au début de l’hiver pour une question de rentabilité et sont ainsi plus exposées au froid et aux maladies.
Ce dernier sera tout aussi doux, chaud, soyeux et léger mais bien plus résistant et assurément plus écologique que votre bonnet en cachemire.
Tout d’abord, rassurez-vous, ce ne sont pas des bébés alpagas qui sont tendus mais c’est le nom donné à la fibre provenant du fameux duvet qui se cache en dessous de la laine « classique » d’alpaga.
Et contrairement à nos amies les chèvres, l’alpaga peut produire jusqu’à 2kg de cette précieuse fibre, le tout sans consommer 10 litres d’eau par jour !
En effet,un alpaga ne boit que 2,5 à 4 litres d’eau par jour.
Il consomme donc moins et produit plus : fabuleux non ?
Concernant le problème de la pollution lié au traitement et à la teinte, notre « laine des dieux » ne nécessite pas de ces étapes ou très peu.
En effet l’alpaga est l’animal qui a la plus grande diversité de teintes naturelles.
Allant du blanc en noir en passant par différentes nuances de gris et de marrons, l’alpaga sera fournir naturellement la couleur de bonnet que vous souhaitez, permettant ainsi d’éviter les teintures artificielles.
Quant à nos bonnets colorés, chez BellePaga, ils sont le fruit d’une teinture naturelle végétale respectueuse de l’environnement.
Ainsi si vous cherchiez un bonnet d’une qualité, d’un confort et d’une douceur extrême oubliez le cachemire et tournez-vous vers l’alpaga.
Ce dernier en plus de vous apportez les mêmes bienfaits qu’un bonnet en cachemire sera bien plus résistant, chaud tout en étant thermorégulateur et hypoallergénique.
Aucun risque qu’il ne bouloche après une accroche ou d’attraper des boutons sur le front !
Et afin d’éviter le cumule des couches de vêtements il faut trouver la pièce qui nous siéra et nous protégera le mieux !
Sans étonnement, le plus compliqué à trouver se trouve très souvent être les affaires pour couvrir nos extrémités.
En effet les « bouts » du corps humain sont particulièrement sensibles dans tous les termes du sens : aussi bien au changement de température, qu’aux différentes matières et produits.
C’est pourquoi le bonnet en cachemire reste chaque hiver le produit phare pour se couvrir la tête pour beaucoup de personnes.
Le cachemir, d’où ça vient ?
On en trouve partout mais très peu de personnes savent réellement d’où vient leur nouveau bonnet en cachemire.La première chose à savoir, est que le cachemire provient de la chèvre.
C’est lorsque que la saison hivernale pointe le bout de son nez qu'apparaît un très doux duvet sur les petites chèvres du Tibet.
En effet, les chèvres produisant le meilleur et le plus de cachemire se trouvent dans les hauts plateaux de la région chinoise du Tibet et en Mongolie, principalement du fait du climat idéal à la fabrication naturelle de ce duvet.
Cependant, il faut attendre la fin de l’hiver pour le récolter car c’est seulement à cette période, avec la hausse des températures que les chèvres perdent naturellement leur pelage.
Les étonnantes différences de prix pour un bonnet en cachemire
En fonction des différentes marques on remarque de grandes différences de prix pour les articles.Si l’on regarde pour nos fameux bonnets en cachemire on peut voir une différence exubérante entre 2 bonnets qui, à priori, ont l’air tout à fait similaire.
En effet, le montant d’un bonnet en cachemire peut aller d’une vingtaine d’euros à plusieurs centaines d’euros. Mais qu’est ce qui justifie un tel écart ?
La principale explication vient du simple fait que la qualité d’une fibre se mesure à sa finesse mais surtout à sa longueur : plus la fibre est fine, plus elle sera agréable/douce et plus la fibre est longue, plus le filage sera solide.
Ainsi toutes les marques (souvent de grande distribution) affichant un « bonnet 100% en cachemire » à une vingtaine d’euros seulement ont très certainement eu recours à la technique dites du « open end » qui consiste à étendre une fibre plus courte et plus large.
Mais bien malheureusement cette pratique rend votre bonnet en cachemire beaucoup plus fragile qu’il ne l’est déjà.
Il aura alors tendance à boulocher très rapidement et à être moins doux.
Un autre facteur déterminant du prix de votre bonnet en cachemire est en lien avec la quantité de cachemire utilisée.
En toute logique, un bonnet en cachemire avec un pompon sera plus coûteux qu’un simple bonnet en cachemire.
De même un bonnet en cachemire pour homme sera plus coûteux qu’un bonnet en cachemire pour femme.
Pour finir, le lieu de production et la main d’œuvre auront aussi un rôle déterminant dans pour déterminer la valeur de votre bonnet.
Le cachemire ça pollue ?
Depuis quelques années la situation climatique s’aggrave et la possibilité de sauver notre planète décroît.Une sensibilisation globale à l’environnement s’est donc mise en place et beaucoup d’entre nous cherche désormais à adopter le mode de vie le plus respectueux possible pour notre maison mère.
Ainsi, chacun essaye de faire quelque chose à son échelle : en utilisant des transports moins polluants, en mangeant moins de viande, en achetant moins…
Et si vous perfectionnez vos efforts en achetant bien tout en vous faisant plaisir ? C’est possible et facile !
Revenons-en à notre bonnet, si je me souviens bien il fallait qu’il soit doux et chaud pour nous éviter d’attraper le bon gros rhume hivernale annuel et de rester clouer au lit toute la semaine.
Naturellement, beaucoup d’entre nous pensent que le cachemire est la matière IDÉALE pour combler tous ces besoins.
Mais en réalité, il existe d’autres laines tout aussi douces chaudes et qualitatives mais beaucoup moins polluantes.
Car acheter du cachemire n’est pas bon pour l’avenir !
Cela est dû à de nombreux facteurs mais la principale coupable est la chèvre.
En effet, cette dernière consomme une quantité d’eau potable affolante pour le peu de matière qu’elle rend.
Pour vous donner une idée, une chèvre peut boire jusqu’à 10 litres d’eau par jour et ne produit pourtant que 50 à 80 grammes de cachemire par an.
Ainsi il faudrait environ 5 chèvres pour faire 1 pull en cachemire.
La récolte du précieux et coûteux duvet qu’est le cachemire incite donc les éleveurs chinois et mongols à agrandir leurs élevages réduisant ainsi les espaces naturels et le bien-être d’autres espèces tel que le léopard des neiges.
À la pollution liée à l'agriculture s’ajoute celle de la production.
En effet, la laine de cachemire doit être traitée, blanchie (par l’utilisation d’eau de javel ) et teintée avant d’être vendue en magasin.
Or ces 3 étapes sont particulièrement nocives pour la planète car elles polluent les eaux puis l’ensemble de la chaîne alimentaire jusqu’à l’homme.
Cela s’explique par le fait que tous les produits utilisés : les pigments, les solvants, le chlore sont ingérés par les plantes et les animaux que nous mangeons.
En plus de la question écologique se pose la question du respect animal.
Car, si l'épilation au peigne est parfois pratiquée pour enlever le pelage des chèvres à la fin de l'hiver, ce n'est pas la technique utilisée la plus fréquente.
La majeure partie du temps les chèvres sont tendues au début de l’hiver pour une question de rentabilité et sont ainsi plus exposées au froid et aux maladies.
Une alternative au cachemire : la laine de baby alpaga de chez BELLEPAGA.
Il est donc préférable de troquer votre bonnet en cachemire contre un bonnet en laine de baby alpaga.Ce dernier sera tout aussi doux, chaud, soyeux et léger mais bien plus résistant et assurément plus écologique que votre bonnet en cachemire.
Tout d’abord, rassurez-vous, ce ne sont pas des bébés alpagas qui sont tendus mais c’est le nom donné à la fibre provenant du fameux duvet qui se cache en dessous de la laine « classique » d’alpaga.
Et contrairement à nos amies les chèvres, l’alpaga peut produire jusqu’à 2kg de cette précieuse fibre, le tout sans consommer 10 litres d’eau par jour !
En effet,un alpaga ne boit que 2,5 à 4 litres d’eau par jour.
Il consomme donc moins et produit plus : fabuleux non ?
Concernant le problème de la pollution lié au traitement et à la teinte, notre « laine des dieux » ne nécessite pas de ces étapes ou très peu.
En effet l’alpaga est l’animal qui a la plus grande diversité de teintes naturelles.
Allant du blanc en noir en passant par différentes nuances de gris et de marrons, l’alpaga sera fournir naturellement la couleur de bonnet que vous souhaitez, permettant ainsi d’éviter les teintures artificielles.
Quant à nos bonnets colorés, chez BellePaga, ils sont le fruit d’une teinture naturelle végétale respectueuse de l’environnement.
Ainsi si vous cherchiez un bonnet d’une qualité, d’un confort et d’une douceur extrême oubliez le cachemire et tournez-vous vers l’alpaga.
Ce dernier en plus de vous apportez les mêmes bienfaits qu’un bonnet en cachemire sera bien plus résistant, chaud tout en étant thermorégulateur et hypoallergénique.
Aucun risque qu’il ne bouloche après une accroche ou d’attraper des boutons sur le front !